J'ai déjà un enfant dans une école du CECCE et je désire en inscrire un autre et j'ai un compte Aspen. J'ai déjà un enfant dans une école du CECCE et je désire en inscrire un autre mais je n'ai pas un compte Aspen. Je n'ai pas d'enfant dans une école du CECCE et je désire en inscrire un.

À propos

Héritage

Prospérité d'après-guerre

L'après-guerre apporte une véritable révolution dans l'industrie, le transport, la technologie et dans les manuels d'enseignement en vue d'une main-d'oeuvre plus urbanisée.  La formation des professeurs devint plus exigeante et plus adaptée au temps.  Pour faire face à ce virage vers l'ère industrielle, il fallait penser à regrouper les petites institutions scolaires.  Le curé Louis Ranger, alors pasteur à Vars, avait compris.  Il appuya fortement une proposition des commissaires de l'école du village à l'effet de quitter les locaux exigus de la sacristie et de bâtir une belle grand école de deux classes.  La paroisse offrit même le terrain (elle le céda pour 1.00$) où, de fait, se construisit l'école et où se situe présentement l'école St-Guillaume.  Les travaux se mirent donc en branle et le tout fut prêt pour l'entrée scolaire en septembre 1947.

Négociations réussies

Ce projet avait ses percées d'audace.  Il fallut négocier longuement avec le ministère de l'éducation et avec les commissaires des districts scolaires voisins.  Il s'agissait de redéfinir les territoires scolaires de façon à permettre à l'école du village d'augmenter son bassin d'étudiants et son champ de taxation.  Wuilfrid A. Martin, cordonnier et paroissien averti, agissait à l'occasion comme notaire pour aider ses compatriotes.  Il pilota ces interminables pourparlers avec le ministère et obtint gain de cause.

À partir de ce moment, les deux écoles principalement concernées échangèrent leurs numéros d'identification; l'école no. 4 du village deviendra l'école no. 2, alors que l'école Chartrand no. 2 portera le no. 4.  Ceci est confirmé dans les cahiers de présence et d'assiduité des deux institutions pour les années à venir.

École temporaire rue James, 1945-1947

La sacristie allait donc se trouver vacante.  Durant deux ans, 1945-46 et 1946-47, l'école no. 2 (nouveau numéro) déménagea ses locaux sur la rue James, dans une maison privée qui offrait la possibilité d'ouvrir deux classes.  La commission scolaire acheta cette maison, propriété de Napoléon Sauvé, le 25 juin 1945 (contrat no. 17821).  Pour la première fois et pour bien des années à venir (jusqu'en 1965), l'école no. 2 du village embauchera deux professeurs.  À la fin de ces deux années, les élèves entrèrent dans leur école toute neuve.

À suivre...

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